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Una huella de razonamiento jurídico-social puede ser considerada como una señal, esto es, como un modelo de las características-signo de la señal razonamiento jurídico-social, que son únicas del pensamiento para cada individuo en una determinada sociedad, mismas que son propias y únicas de quien formuló dicho razonamiento jurídico-social-social. Esto significa que, al igual que otros datos métricos, en que se caracterizan los rasgos a través de un modelo, es posible plantear la hipótesis sobre qué: “se puede considerar al razonamiento jurídico-social como un métrico que permita caracterizarle a través de sus rasgos, que bien puede utilizar el aprendizaje automático, esto es, los automatismos, para ayudar al orden jurídico a determinar los perfiles y las identidades de los razonamientos de los actuantes”.
Une trace de raisonnement juridico-social peut être considérée comme un si-gnal, c’est-à-dire comme un modèle du signe caractéristique du signal de raisonnement juridico-social, qui sont uniques au raisonnement de chaque individu dans une société donnée, qui sont propres au raisonnement et uniques à celui qui a formulé ledit raison-nement juridique-social-social. Cela signifie que, comme d’autres données métriques, dans lesquelles les traits sont caractérisés à travers un modèle, il est possible d’émettre l’hypothèse que: «le raisonnement juridico-social peut être considéré comme une mé-trique qui permet de le caractériser à travers ses caractéristiques, qui peuvent bien utiliser l’apprentissage automatique, c’est-à-dire les automatismes, pour aider l’ordre juridique à déterminer les profils et les identités du raisonnement des acteurs». Tout cela en consi-dérant que le raisonnement juridico-social n’est pas ce qui a été raisonné mais ce que l’on retient dudit raisonnement, c’est-à-dire la trace du raisonnement juridico-social.
A footprint of legal reasoning is proposed to be considered as a sign, that is, as a model of the sign-characteristics of the legal reasoning signal, which are unique to the reasoning of an individual, proper to the reasoning, and unique to the person who formulated said legal reasoning, that is, like other metric data, in which the features are characterized through a model, the hypothesis is raised that legal reasoning can be considered as a metric that allows characterizing it through its features, which may well use automatic learning, that is, automatisms, to help the legal order to determine the profiles and identities of the reasoning of the actors. All of the above considering that legal reasoning is not what was reasoned but what is remembered from said reasoning, the footprint of legal reasoning
