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No hace muchos años, la formación física en el Ejército se basaba prácticamente en la carrera. Algunos lo tuvimos bastante presente en nuestros días de cadete y primeros años de teniente.
En el programa, los términos más frecuentes eran: carrera continua, cuestas, «interval training», fartlek o algún otro entrenamiento que implicase correr. Esta distribución indicaba claramente que el entrenamiento del combatiente se orientaba principalmente a la resistencia. El resto de capacidades quedaban relegadas a alguna sesión aislada de entrenamiento total donde hacíamos algunas (ciertas) fl exiones y dominadas.
Por suerte, en la última década, el entrenamiento ha ido adoptando un enfoque más global con mayor participación de la fuerza. Sin embargo queda mucho trabajo por hacer y muchas preguntas por resolver:
¿Realmente es la resistencia tan importante para un combatiente? ¿Por qué debemos dar mayor protagonismo al trabajo de la fuerza? ¿Es posible desarrollar ambas capacidades? En este artículo, abordaremos estas cuestiones con el objetivo de mostrar la importancia del entrenamiento de fuerza en todo militar y combatiente.
Not too long ago, physical training in the Army was primarily focused on running. Many of us were quite aware of this during our cadet days and early years as lieutenants.
The most common terms in the program were continuous running, hill sprints, interval training, fartlek, or some other form of running-based exercise. This distribution clearly indicated that the training of soldiers primarily focused on endurance. The other capabilities were relegated to isolated training sessions where we would do some (limited) push-ups and pull-ups.
Fortunately, in the last decade, training has adopted a more comprehensive approach with greater emphasis on strength.
However, there is still much work to be done and many questions to be answered: is endurance really that important for a soldier? Why should we give more prominence to strength training? Is it possible to develop both capabilities? In this article, we will address these questions with the aim of highlighting the importance of strength training for every soldier and combatant.
Il n’y a pas si longtemps, l’entraînement physique dans l’armée était principalement axé sur la course à pied. Certains d’entre nous l’avaient assez présent à l’époque où nous étions cadets et pendant nôtres premières années en tant que lieutenants.
Dans le programme, les termes les plus fréquents étaient: course continue, pentes, «interval training», fartlek ou quelque autre entraînement impliquant la course. Cette répartition indiquait clairement que l’entraînement du combattant était principalement basé sur la résistance physique. Le reste des capacités a été relégué à une séance d’entraînement totale isolée où nous faisions quelques (certaines) pompes et tractions.
Heureusement, au cours de la dernière décennie, la formation a adopté une approche plus globale avec une plus grande participation de l’entraînement en force. Cependant, il reste encore beaucoup de travail à faire et de nombreuses questions auxquelles il faut répondre:
La résistance physique est-elle vraiment si importante pour le combattant? Pourquoi nous devons donner plus d’importance au travail en force? Est-il possible de développer les deux capacités? Dans cet article, nous aborderons ces questions dans le but de montrer l’importance de l’entraînement en force chez chaque soldat et combattant.
