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Carlos Ignacio Massini Correas 
El autor estudia las ideas de Carlos Marx acerca de la justicia, poniendo de relieve, en primer lugar, la negativa de éste a incluir esa noción en el marco de su pensamiento político, explicando después las razones de esa exclusión. La primera de estas razones radica, según el autor, en que Marx consideraba a la noción de justicia como típicamente burguesa, reduciéndola a las relaciones de propiedad privada y a las vinculadas con ella. La segunda, sostiene, es que el Filósofo de Trier suponía que en la fase superior de la sociedad comunista, junto con la completa abundancia de bienes económicos, arribaría la abolición de la propiedad privada Y, por consiguiente, de la necesidad de la justicia. El autor finaliza analizando críticamente este aspecto del pensamiento marxista, en especial por su utopismo Y su reduccionismo.
The author analyzes Marx's ideas on justice, pointing out, in the first place, his refusal to include that notion within the setting of his political thought, explaining afterwards the reasons for such exclusion. The first of those reasons lies according to the author-in the fact that Marx thought the notion of justice as belonging to the bourgeois, reducing it to prívate property relationships and to the ones involv:d in it. The second one, he claims, is that the Philosopher of Triers supposed that m the upper phase of a communist society togeth.er with the abundance of economy goods-private property would be abolished and, as a consequence, the need for justice would end. The author finishes by critically analyzing this aspect of Marxism, especially because of its Utopian and reductionist character.
L'auteur étude les idées de Karl Marx a l'égard de la justice, en remarquant avant tout l'attitude de cet auteur d'exclure cette notion dans !'ensemble de sa pensée polituque, pour rendre apres une explication a cet égard. La premiere de ces raisons, selon l'auteur, c'est que Marx considérait que cette notion de justice était typiquement bourgeoise, et pour _cela il l'assimilait aux idées de propriété privée et aux choses rélatives a elle. La deuxieme raison, selon lui, c'est que le philosophe de Treves supposait que dans les étapes supérieures de la société communiste, avec la pleine abondance des biens économiques, on arriverai a l'abolition totale de la propriété privée, et par connséquant on n'aurait pas besoin de justice. L'auteur analyse critiquement et pour finir cette tournure de la pensée marxiste, en spécial ses idées d'utopie et de réductionisme.
