The analysis of urban governance in terms of networks, as developed in the UK by scholars including Rhodes and Stoker, can be applied to a context such as Mexico if due weight is given to macro-level processes. In this article, careful attention is paid to the institutional legacies of Mexico's past authoritarian regime and how they are challenged by a new discourse of neoliberalization, decentralization and democratization. Corporatism, social segmentation and organizational fragmentation in the past have resulted in the continuing importance of hierarchical modes of governance alongside networks. Case studies of the public–private partnerships involved in the regeneration of the historic centres of Querétaro and San Luis Potosí show that new forms of governance entail a mix of continuity and change. Regeneration partnerships were initiated and largely funded by the local state, with the state retaining considerable power. Most of the non-state participants were drawn from the old aristocracy and business and professional organizations, whilst the increasingly autonomous groups of street traders and ‘ordinary’ citizens concerned with the life in the city centre were excluded. Nevertheless, new discourses challenge the institutional legacies of the past, encouraging institutional change. Résumé L'analyse de la gouvernance urbaine en termes de réseaux, telle que des chercheurs comme Rhodes et Stoker la présentent au Royaume-Uni, est applicable au contexte mexicain si on pondère correctement les macro-processus. Une attention particulière est accordée ici aux héritages institutionnels du régime autoritaire qu'a connu le Mexique, et à la façon dont ils sont remis en cause par un discours nouveau de néolibéralisation, décentralisation et démocratisation. Dans le passé, corporatisme, segmentation sociale et fragmentation des organisations ont donné une importance constante aux modes de gouvernance hiérarchisés en parallèle aux réseaux. D'après des études de cas de partenariats public-privé portant sur des projets de régénération des centres historiques de Querétaro et de San Luis Potosí, de nouvelles formes de gouvernance génèrent un mélange de continuité et de changement. Les partenariats liés à la régénération de quartiers ont été lancés et en grande partie financés par l'État local, l'État gardant une emprise considérable. Hormis l'État, les participants étaient issus, par la plupart, de la vieille aristocratie, ainsi que des milieux commerciaux et professionnels, alors qu'étaient exclus les groupes de plus en plus autonomes des marchands ambulants et des citoyens ‘ordinaires’ concernés par la vie dans le centre-ville. Néanmoins les nouveaux discours, qui remettent en question les héritages institutionnels du passé, encouragent à une évolution des institutions.