Anne Haila
Urban scholars have been privileged to follow the transformation of Chinese cities. In order not to produce just a new city-based paradigm for urban studies it is important to discuss the theoretical frameworks, assumptions, concepts and theories we use in interpreting Chinese urban development. Given the length of the history of Chinese cities and the richness of their alternative developments, what surprises me is the uncritical adoption of a single framework — the framework of the property rights school and its assumptions of the tragedy of the commons and rent-seeking. In my reply to the comments concerning my original paper I refer to some of these alternatives and alternative ways of seeing: protecting public property, social aspects of introducing a market mechanism, communal nature of property ownership, collectively owned land, experiments with zero priced housing land, and the comedy of the commons. Résumé La recherche urbaine a eu le privilège de suivre la transformation des villes chinoises. Si l'on veut éviter un paradigme supplémentaire fondé sur la ville et élaboré pour les études urbaines, il est important d'examiner les cadres théoriques, hypothèses, concepts et théories utilisés pour interpréter le développement urbain en Chine. Étant donnés le long historique des villes chinoises et la multiplicité de leurs évolutions alternatives, je me suis étonnée de l'adoption sans discussion d'un cadre de référence unique: celui de l'école des droits de propriété, avec ses postulats sur la tragédie des biens communs et sur le parasitisme (recherche de rente). Pour répondre aux commentaires soulevés par mon article initial, j'aborde certaines de ces alternatives et perspectives alternatives: protection de la propriété publique, aspects sociaux liés à l'introduction d'un mécanisme de marché, nature commune de la propriété immobilière, terrains en propriété collective, expériences de terrains d'habitation gratuits, et la ‘comédie’ des biens communs.