Après Marcel Proust, après Georges Simenon, poursuivant ses analyses quantitatives des grands auteurs, François Richaudeau s'attaque à Jean Giono. Mais, au fur et à mesure que l'entreprise avance, des correspondances, analogies ou oppositions entre les écritures apparaissent et la méthode quantitative en arrive à déboucher sur une analyse stylistique. C'est ce qui apparaît ici notamment en ce qui concerne les comparaisons entre les styles de Marcel Proust et Jean Giono. (Marcel Proust in n° 45, Georges Simenon in n° 53.)