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Ildefonso Camacho Laraña 
El discurso de apertura del Concilio Vaticano II, Gaudet mater Ecclesia, es la primera clave que propone el autor para captar la relación profunda de Gaudium et spes y el magisterio de Juan XXIII. Las claves de aquel discurso, distinción de la fe y la forma de expresarla, la misericordia frente a la denuncia de los profetas de calamidades, los signos de los tiempos y la pastoralidad conciliar. La parte central el estudio se refiere al influjo de los dos grandes documentos sociales de Juan XXIII, Mater et magistra (1961) y Pacem in terris (1963) en el Concilio y en concreto en la Gaudium et spes, a la hora de esbozar una nueva relación entre Iglesia y sociedad. Por eso el autor afirma que esta constitución conciliar es ¿la mejor expresión¿ de que Juan XXIII quiso que fuera el concilio. En la asimilación de las novedades de Gaudium et spes tuvo un influjo determinante Pablo VI, obviamente. El estudio termina esbozando dos líneas de fuerza: la dialéctica de fondo establecida entre tradición y renovación, lo que lleva a afirmar que Gaudium et spes no fue un término de llegada sino un punto de partida.
Le discours d'ouverture du second concile du Vatican, Gaudet Mater Ecclesia,est la première clé proposée par l'auteur et spes et l�enseignement de Jean XXIII.Les clés de ce discours, la distinction de la foi et de la façon de l'exprimer, la plainte contre les prophètes de malheur et l�éloge de la miséricorde, les signes des temps et la pastoralité conciliaire. La partie centrale de l'étude concerne l'influence des deux grands documents sociaux de Jean XXIII, Mater et Magistra (1961) et Pacem in Terris (1963) au sein du Concile et en particulier sur la Gaudium et spes, quand écrivant une nouvelle relation entre l'Église et la société.Ainsi, l'auteur affirme que cette constitution conciliaire est "la meilleure expression"de ce que Jean XXIII voulait que ce soit le concile. Dans l'assimilation des nouveautés de Gaudium et spes eu évidemment une influence décisive Paul VI. L'étude se termine en décrivant deux lignes de force: l'arrièreplan dialectique établi entre tradition et renouveau, conduisant à dire que Gaudium et spes n�était pas un terme d'arrivée, mais un point de départ.
de saisir la relation profonde de Gaudium et spes et l�enseignement de Jean XXIII. Les clés de ce discours, la distinction de la foi et de la façon de l'exprimer, la plainte contre les prophètes de malheur et l�éloge de la miséricorde, les signes des temps et la pastoralité conciliaire. La partie centrale de l'étude concerne l'influence des deux grands documents sociaux de Jean XXIII, Mater et Magistra (1961) et Pacem in Terris (1963) au sein du Concile et en particulier sur la Gaudium et spes, quand décrivant une nouvelle relation entre l'Église et la société.
Ainsi, l'auteur affirme que cette constitution conciliaire est "la meilleure expression"de ce que Jean XXIII voulait que ce soit le concile. Dans l'assimilation des nouveautés de Gaudium et spes eu évidemment une influence décisive Paul VI. L'étude se termine en décrivant deux lignes de force: l'arrièreplan dialectique établi entre tradition et renouveau, conduisant à dire que Gaudium et spes n�était pas un terme d'arrivée, mais un point de départ.
