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Jacques Mousseau achève l'article que nous publions ici par une remarque personnelle qu'il a faite l'année dernière à New York : en quatre ans, les « sex shops » et les stands de revues erotiques qui se succédaient sans interruption dans le quartier de Time Square avaient presque totalement disparu, sans doute, il est vrai, au profit de films pornographiques. Il en conclut que la pornographie, si agressive, si généralisée soit-elle, n'est que passagère et ne menace pas les structures de notre société : ce n'est pas elle qu'il faut juger, mais l'usage qu'on en fait aujourd'hui pour des raisons financières. Il montre ici l'évolution de ce phénomène, comment cette presse s'est transformée pour donner les innombrables et importantes (par le tirage) revues qui s'étalent à la devanture des kiosques, mais aussi pourquoi ce n'est probablement qu'une « poussée de fièvre ».
