Badreddine Belhassen, étudiant tunisien, travaille à une thèse de troisième cycle en linguistique, à l'université de Paris. Mais cela ne l'empêche pas de s'intéresser aussi à la communication visuelle. A l'université de Bordeaux-III, il prépare une maîtrise dont Anne-Marie Laulan, qui le dirige, a extrait et préparé ce texte. Il s'agit de l'ébauche d'une réflexion sur la signification profonde du tatouage, à la fois sur le plan du code et sur celui du désir.