Sans réelles innovations, l’arrêt Lambert c. France pose toutefois les lignes directrices de la Cour de Strasbourg dans les situations d’arrêt de traitements des personnes en état végétatif en rappelant son refus de reconnaître un consensus européen sur la fin de vie. Dans une perspective purement française, l’arrêt présente l’intérêt de valider le dispositif législatif issu de la loi « Leonetti » de 2005.