La Convention de l'UNESCO concernant les mesures à prendre pour interdire et empêcher l'importation, l'exportation et le transfert de propriété illicites des biens culturels fut adoptée en 1970 et le 17 juin 2008 116 pays l'ont ratifiée, dont la Grèce en 1981. La Grèce est dotée d'un acte législatif relativement récent sur les biens culturels, la loi n° 3028 de 2002 qui prévoit des infractions telles que le vandalisme, qui constitue un mot inventé en 1793 pour stigmatiser ceux qui détruisent inconsidérément les �uvres d'art et les monuments. Inspiré par le modèle italien qui est censé être le meilleur dans le monde entier, l'Etat hellénique adopta, d'une manière complémentaire, en 2008 la loi n° 3658, sur l'affrontement administratif et pénal du pillage des monuments. Néanmoins, quelques mesures protectrices significatives de cette loi spécialisée restent encore inactives tandis que des musées importants sont récemment devenus victimes de pillage en Grèce sans que la restitution des objets en cause ne soit assurée.
The UNESCO Convention on the Means of Prohibiting and Preventing the Illicit Import, Export and Transfer of Cultural Property was adopted in 1970 and, on June 17, 2008, 116 countries ratified it, among which Greece in 1981. Greece has relatively recently adopted a legislative act on cultural property, Law no. 3028 of 2002, laying down infringements such as vandalism, a term invented in 1793 in order to stigmatize those who are unduly destroying works of art and monuments of history. Inspired by the Italian model that is considered as being the best in this respect, the Hellenic State further adopted Law no. 3658 of 2008 on the administrative and criminal confrontation of the illegal pillaging of monuments. However, some significant protective measures of this specialized law have not yet entered into force, while, at the same time, important museums have recently become victims in Greece without their objects' return being assured.