Julio Ismael Camacho Solís
La migración ha sido denominada el flujo más recurrente por la humanidad, es un derivado de la globalización, las personas migrantes en movilidad deben superar obstáculos aun con el menoscabo de derechos fundamentales, obstáculos que políticas nacionales laborales, de seguridad social y de salud. El objetivo de esta colaboración académica es centrar la migración preguntándose: ¿en el ciclo migratorio de la movilidad humana, se respetan, se protegen los derechos humanos y el derecho a migrar? Se plantea la hipótesis: si la mayoría de los Estados liberales implementaron a principios del siglo XX, como una reacción a fenómenos económicos de la época. La movilidad migratoria, con sus múltiples implicaciones políticas, sociales y económicas. En el desarrollo de esta colaboración, se describe una metodología que sustenta lo histórico, sociológico y descriptivo, adyacente con aproximación social al tema migratorio. En la movilidad humana radica la premisa fundamental conforme a los estándares que rigen el derecho internacional de los derechos humanos. Año tras año, cientos de miles de personas a nivel global pasan por innumerables situaciones de riesgo para llegar al país de destino, en condiciones infrahumanas. La reacción de los Estados y de las naciones en general ha sido adoptar una política migratoria restrictiva que no logra controlar los flujos y movimientos de personas. Por lo tanto, garantizar su inclusión social colectiva requiere una mayor apertura a la migración y procesos de regularización migratoria. Los procesos de repatriación a menudo adquieren características discriminatorias que socavan la dignidad, la vida y los derechos de los migrantes.
Migration has been termed the most recurrent flow by humanity, stemming from globalization. Migrants in motion must overcome obstacles, often at the expense of fundamental rights, including hurdles in national labor, social security, and healthcare policies. The aim of this academic collaboration is to focus on migration, questioning whether, within the migratory cycle of human mobility, human rights and the right to migrate are respected and protected. The hypothesis posits that if most liberal states implemented, in the early 20th century, migration mobility as a reaction to economic phenomena of the time, then the migratory mobility, with its manifold political, social, and economic implications, should adhere to a methodology that underpins historical, sociological, and descriptive approaches alongside a social perspective on migration. The fundamental premise lies in human mobility’s compliance with the standards set forth by international human rights law. Year after year, hundreds of thousands globally endure countless risky situations to reach their destination countries under subhuman conditions. States ‘and nations’ reactions, in general, have led to the adoption of restrictive migration policies that fail to control the flows and movements of people. Thus, ensuring their collective social inclusion necessitates greater openness to migration and migration regularization processes. Repatriation processes often acquire discriminatory characteristics, undermining the dignity, lives, and rights of migrants
La migration a été désignée comme le flux le plus récurrent de l’humanité, elle est un dérivé de la mondialisation. Les personnes migrantes en mouvement doivent surmonter des obstacles, même au détriment de leurs droits fondamentaux, notamment des obstacles liés aux politiques nationales en matière de travail, de sécurité sociale et de santé. L’objectif de cette collaboration académique est de centrer la migration en se demandant si, dans le cycle migratoire de la mobilité humaine, les droits de l’homme et le droit de migrer sont respectés et protégés. Une hypothèse est posée: si la plupart des États libéraux ont mis en œuvre, au début du XXe siècle, la mobilité migratoire en réaction aux phénomènes économiques de l’époque, alors la mobilité migratoire, avec ses multiples implications politiques, sociales et économiques, devrait être étayée par une méthodologie qui soutient les approches historiques, sociologiques et descriptives associées à une perspective sociale sur la migration. La prémisse fondamentale réside dans la conformité de la mobilité humaine aux normes du droit international des droits de l’homme. Année après année, des centaines de milliers de personnes à travers le monde endurent d’innombrables situations à risque pour atteindre le pays de destination dans des conditions infrahumaines. La réaction des États et des nations en général a été d’adopter une politique migratoire restrictive qui ne parvient pas à contrôler les flux et les mouvements de personnes. Ainsi, garantir leur inclusion sociale collective nécessite une plus grande ouverture à la migration et aux processus de régularisation migratoire. Les processus de rapatriement acquièrent souvent des caractéristiques discriminatoires qui portent atteinte à la dignité, à la vie et aux droits des migrants.