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En la presente exposición se pretende explorar cuáles son los alcances de las figuras de “simulación” y “subterfugio laboral”, contenidos y tipificados en el artículo 507 del Código del Trabajo actualmente vigente en Chile, introducidos a través de la reforma legal denominada “Ley Multirut”. Se realiza una exposición sobre las discusiones doctrinarias desarrolladas a propósito del antiguo artículo 478 del Código del Trabajo chileno, su relación con instituciones conexas como lo son el fraude a la ley o el levantamiento del velo corporativo, para luego afrontar críticamente la lectura del actual texto legal vigente en el artículo 507 y su vinculación con la declaración de único empleador.
This presentation attempts to explore the scopes of the concept of “simulation” and “labor subterfuge” contained and defined in article 507 of the Labor Code currently in force in Chile, which has been introduced by means of the legal reform denominated “Multirut Law”. The doctrine discussions developed regarding article 478 of the Chilean Labor Code, its link to the related concepts such as fraud to the law and the lifting of the corporate veil, to later critically face the reading of the currently text in force found in article 507 and its connection to the statement of sole employer are presented.
L’objectif du présent travail consiste à analyser les champs d’application exploitables pour les différents cas de “simulation” et de “subterfuges” dans le monde du travail tels qu’ils sont mentionnés et définis par l’article 507 du Code du Travail actuellement en vigueur au Chili que la réforme juridique dénommée “Loi Multirut” a rendu possible. Les différents débats qui ont vu le jour et portant sur la doctrine juridique relative à l’ancien article 478 du Code du Travail chilien sont ainsi passés en revue ainsi que leurs liens avec les thèmes connexes comme l’escroquerie vis-à-vis de la loi ou le fait d’obliger une entreprise à dévoiler ses pratiques fiscales afin d’aborder, ensuite, avec un œil critique, le texte juridique actuel en vigueur dans l’article 507 et ses rapports avec la déclaration d’employeur unique.
