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Arturo Serrano
La violencia puede ser considerada como recurso estético en lugar de solamente como problema moral. La violencia, incorporada a representacionese cinematográficas, es susceptuble de ser disfrutada. Sin embargo, ¿es verdad la violencias representada en el cine como recurso carente de toda dimensión moral? En este artículo sel prblema de la violencia es estudiado en tres partes: en la primera se propone uan teoría acerca de las posibilidades estéticas de la violencia sin aplicarla a ningún arte en específico; en el segundo se estudia el carácter ético de la violencia en las pe´liculas del director norteamericano Martin Scorses; y el tercero se analiza el uso eminentemente estético que otro directore norteamericano, Quentin Tarantino, hace de la violencia en su filmografía.
Violence can be considered and aesthetic resource instead of only a moral subject. Incorporated to cinematographic representations, vilence is enjoyable. However, is the violence represented in films just an aesthetic resource, lacking any moral dimension? In this paper the problem of violence is studied in three parts: the first one proposes a theoretical approach into the aesthetics possibilities of violence, without mentioning the case of any specific art; the secod one studies the ethical nature of violence in the films of American director Martin Scorsese; and the third one analyses the primarily aesthetic function of violence in the movies of another American director, Quentin Tarantino
La violence peut êntre entendue comme une ressource esthétique au lieu d'être seulement considérée comme un problème d'ordre moral. Incorporée aux représentations cinématographiques, la violence est susceptible de propucrer du plaisir aux spectateurs d'un film. Pourtant, la violence représentée dans le cinéma est-elle vraiment une ressource esthétique qui ne possède aucune dimension morale? Dans ce travail la problématique de la violence est étudiée en trois parties: dans la première, l'auteur propose une théorie portant sur les possibilités esthétiques de la violence sans l'apliquer à aucun art espécifique; dans la second, il étudie le caractère éthique de la violencie dans les films du réalisateur américain Martin Scorsese; et dans la troisième, l'auteur analyse l'utilisation éminemment esthétique qu'un autre réalisateur américain, Quentin Tarantino, en fait dans sa filmographie.
