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Anne Mette Ødegård, Øyvind Berge
En Norvège, le secteur du travail intérimaire est diversifié et en augmentation. Depuis l'élargissement de l'UE en 2004 et 2007, il a également connu un afflux important de travailleurs provenant des nouveaux États membres de l'UE, en particulier dans le secteur de la construction. Cette situation a conduit à une expansion d'activités informelles et non déclarées dans le secteur du travail intérimaire. Dans cet article, les auteurs soulignent quelques-unes des conséquences de cette évolution. Ils analysent également l'impact des diverses réglementations nationales dans ce secteur et cherchent à savoir si une nouvelle réglementation de l'UE, à savoir la directive européenne sur le travail intérimaire, pourrait améliorer la situation.
Die Zeitarbeitsbranche in Norwegen ist vielfältig und wächst. Seit den EU-Erweiterungen von 2004 und 2007 ist es in diesem Sektor auch zu einem großen Zustrom von Arbeitskräften aus den neuen EU-Mitgliedstaaten gekommen, die meist im Baugewerbe arbeiten. Dies hat dazu geführt, dass informelle Geschäftspraktiken und Schwarzarbeit in der Zeitarbeitsbranche zugenommen haben. Dieser Beitrag zeigt einige Folgen dieser Entwicklung auf und befasst sich mit den Auswirkungen der verschiedenen nationalen Regelungen in diesem Sektor sowie mit der Frage, ob die neuen EU-Rechtsvorschriften, d.h. die EU-Richtlinie über Leiharbeit, die Situation verbessern könnte.
The temporary work agency sector in Norway is diverse and growing. Since the EU enlargements of 2004 and 2007, it has also experienced a large influx of workers from the new EU Member States, especially in construction. This has led to more informal and undeclared business activities in the hiring industry. In this article we show some of the consequences of this development. We also discuss the impact of various national regulations in this sector and whether new EU regulation, namely the EU Directive on temporary agency work, might improve the situation.
