Dans un environnement qui normalise les crises, la littérature en management et en entrepreneuriat invite les acteurs à s’appuyer sur des capacités de résilience individuelle et/ou organisationnelle. Or, peu d’études portent conjointement sur ces deux formes de résilience, qui plus est pour une pratique différente de la création. Cet article2 montre que la résilience organisationnelle sous le prisme du repreneur est un vecteur clé de résistance et suggère qu’elle n’est pas suffisamment investiguée au regard de ses effets sur la performance postreprise en temps de crise majeure.