François Ascher nous invite à penser dans un même mouvement l’évolution des mobilités et l’évolution des sociétés contemporaines, et à les penser dans un rapport de coproduction: les potentiels offerts par les moyens de mobilité contribuent à la dynamique des sociétés, et celle-ci contribue à renouveler en permanence les représentations, les besoins et les attentes à l’égard de la mobilité.